NOM_DU_PERSONNAGE |
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- Rang : B
- Race : Vampire
- Age : 2 siècles et 33 ans.
- Royaume/faction : Abraethan
- Fonction(s) : Princesse Stryge
- Classe : Guerrière
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Équipement et Pouvoirs |
- Arme(s) :
- Epée à une main-une main et demi appelée Désespoir. C'est une épée à double tranchant faite à base de palladium et d'acier. Le fourreau est fait en osmium et iridium, filigrané d'or.
- Spoiler:
- Armure :
- Plastron d'armure de plate filigranée de palladium bouclier - bouclier
- Objets spéciaux :
- Un croc de loup serti en collier en or. Loup que mon père humain tua un jour en compagnie de ses guerriers. Je n'en ai jamais su plus.
- Caractéristiques raciales :
- Peau blanchie, crocs de vampires - Regard hypnotique - Détection du sang
- Don(s) : (Réservé au staff)
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- Sorts / Techniques / Domaines :
- Combats à l'arme blanche. Maîtresse d'Armes affectionnant les épées, mais pouvant me servir d'une arme trouvée au sol pendant un combat. Mauvaise à l'arc. - Détection de tout type de magie (je peux sentir le type de magie mais ne peux pas me défendre contre).
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Description physique
Je mesure 1m80, ce qui est raisonnable pour une vampire. Par la nature de ma mère, je suis fine et élancée. Mon regard aussi gris argenté que la lune est désormais empli de méfiance mêlé à une sorte de respect envers les plus anciens. Mes lèvres sont aussi fines qu’une tige d’orchidée, aussi douces que des fleurs de coton, aussi roses que les premiers instants de l’aube. Mes cheveux aussi sombres qu'une nuit sans lune et raides tombent jusqu'au milieu de mon dos. Parmi vous, j’attache mes cheveux soit en chignon soit en queue de cheval haute. Seule, je les laisse tomber en cascade.
Ma peau est aussi douce que de la soie. Ma poitrine n’est pas spécialement généreuse mais assez raisonnable à ne pas rendre quiconque jalouse.
Je me vêts de robe de soie vert d'eau sans manches, ample, souple et légère, aussi fluide se modelant au souffle du vent, qui, de plus s’arrête aux chevilles lorsque je reçois quiconque me rend visite. Je ne porte d’ailleurs aucun sous-vêtements dessous. Lorsque je dois me rendre sur un champ de bataille, je me revêts de mon plastron entier, d'une cape à capuche noire puis d'un pantalon de cuir. S'il m'arrive d'être provoquée en duel ou bien un confrontation interne vampirique, je me pare d'un soutien gorge d'armure par-dessus une tunique de coton noir ouvragé et d'un short de même matière ouvert voir déchiré à divers endroits afin de me le plus possible laisser libre de mes mouvements.
J’aime la simplicité, car je me chausse simplement de cuissardes lorsque je suis en armure, et d'une sorte de petites ballerines noires sans talons pour éviter le maximum de bruits.
Quand je me purifie, rares sont les êtres qui peuvent voir une tâche de naissance brune en forme de croissant de lune sur le bas de mon dos. Je ne porte aucune autre cicatrice.
Description psychologique
Mon caractère ? A quoi bon vous le décrire et ne pas essayer plutôt de vous tenter à me connaître ? Non ? Cela ne vous tente pas ? Bon je vais exceptionnellement faire un effort.
Vous, les humains et autres êtres, vous ne m’avez jamais vu en colère, ou en furie. Méfiez-vous… Je tue de sang froid. Veillez à ne pas éveiller un de mes deux derniers sentiments humains. C'est-à-dire : à vous en prendre après plus faible que vous en ma présence, les enfants en l’occurrence.
D'une fidélité guerrière à toute épreuve face à Zark, ce ne sera que de lui que j'accepterais tout modification sur mes agissements. A moins que l'on me prouve que l'on vienne me trouver de sa part. Encore faut-il qu'il soit plus... coriace, plus intransigeant que moi. Je veux tout naturellement dire que mon interlocuteur devra me prouver que c'est bien Zark Morkokh en personne qui donne l'ordre pour lequel on me requiert. Car je n'obéis qu'à lui et personne d'autre. Sauf une personne que je peux croire sans preuve. (Mais ça, vous le découvrirez au cours de nos rp's).
Vous vous demandez pourquoi je suis ainsi ? C'est mon rôle de princesse stryge après tout !
Je suis toujours sérieuse, froide, consciencieuse quand je viens à travailler, à réfléchir sur les meilleures stratégies guerrières. Dévouée à ma nouvelle déesse voilà ce que je suis.
En fait, comme on dit parmi les vampires, je suis d’un calme quasi exemplaire. Enfin... beaucoup plus calme que tous les stryges réunis. Ce qui veut dire que je ne suis pas non plus d’un calme à toute épreuve. Si si, je vous assure. Bon d’accord, j’admets que je désire tellement être à la hauteur des espérances d'Akashia et de Démentia.
Oui j'aime parfois qu'on me tienne tête. Je dirais même que je savoure ces instants. Je les prends comme cadeaux. J'avoue également que mon minois est trompeur, et j'en joue. Demandez au vampire qui se tapie dans l'ombre parce que je l'ai émasculé de m'avoir touché les cheveux. Je hais qu'on me les touche, frôle, renifle et autre. Peu importe le rang ou la race que vous êtes. C'est pareil pour tout le monde !
Perfectionniste, je peux être plus qu’obtue jusqu'à temps d'obtenir ce que je veux. Quitte à être blessée. J'aime toute sorte d'épreuve. Cela en devient presque un passe temps.
Concernant l'amitié, je n'ai pas l'habitude, mais après tout, pourquoi ne pas apprendre. Pour le sentiment plus... personnel, là encore je vous souhaite bon courage. Je n'ai pas le coeur de glace mais je reste encore et toujours méfiante.
Il y a des événements qui vous marquent à vie, et encore plus lorsque cela vient de votre nouvelle famille.
Histoire
Le temps d'une humaineJe suis née sur les terres d'Aquasca à la frontière des Landes Blanches, le treizième jour de Démentia, il y a de ça... je ne me souviens plus très bien. Ce que je me souviens, c'est que mon père, Louis, aurait préféré un garçon tout cela par fierté familiale; Pourquoi ? Louis était un militaire. Un guerrier commandant une garnison toute entière. Quant à ma mère, Anya , elle était bercée dans l'herboristerie. Je n'ai comme souvenirs de mon passé d'humaine que les faits qui me semblaient ou semblent les plus importants.
Anya m'apprenait les différentes herbes mais je préférais de loin m'apprendre à me battre et à défendre ceux qui ne pouvaient pas se défendre. La raison ? Je ne supportais pas que les plus forts s'en prenaient aux êtres ne pouvant rien faire. Mon géniteur apprit à m'aimer pour ce que j'étais mais cela n'empêchait pas d'avoir avec lui des querelles, voir des duels à l'abri des regards. J'ai battu mon géniteur très peu de fois puis il m'est arrivé de sentir une présence, un regard sur moi lors de la victoire sur mon père. Néanmoins je n'y avais guère prêté attention la première fois.
Lorsque je rentrais dans notre demeure, fatiguée et rompue par les entraînements, ma génitrice me soignait et me concoctais des repas à base d'herbes. Rares étaient les fois où nous mangions de la viande. Du moins... une fois par mois car nous donnions le reste à la population de la bourgade qui en avait le plus besoin. Je pleurais à chaque fois que je voyais un enfant mourir mais cela ne me faisais rien lorsqu'il s'agissait d'un adulte. Tout simplement parce que j'étais fille unique.
Mon bonheur dura 22 longues années.
Une mort certaineUn soir, alors que la pleine lune était rousse et à demi voilée par un épais nuage, je sortais de la garnison contre l'avis de mon supérieur qui était pourtant mon père. Ma raison ? Ma mère touchée par la peste noire et vivant ses dernières heures. Cela faisait pourtant des années que je me sentais observée, néanmoins, trop préoccupée pour porter la moindre attention à ce qui m'entourait.
Cet être si dangereux, viril, au regard combien étrange et hypnotique ne fit que baisser mes barrières sans que je puisse réagir.
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Tout ira bien Filiel.Il connaissait mon nom. Pourquoi ? Depuis quand ? Que lui ai-je fait pour qu'il me porte autant d'attention ? Et cette force ! Non je n'arrivais pas à m'en défaire. Je voulais qu'il me serre. Non je désirais être au plus près. Mon coeur battant la chamade à presque se rompre, puis, comme une vague tiède se développant en moi de la tête aux pieds.
Sans plus attendre, il m'empoigna avec force et me mordit la nuque. Un flot de sang et sa main gauche sur mes lèvres m’empêchèrent d'hurler.
Pour une nouvelle vieCombien de temps cela dura ? Je ne m'en souviens plus à part m'être réveillée encore étourdie dans un endroit sombre et tiède.
Avant de comprendre que j'avais atterrie chez les vampires, je ne faisais que défendre les êtres qui me paraissaient sans défenses ou tout simplement plus faibles. Et pourtant... Je n'étais encore qu'une humaine, que trois jours durant des sbires de mon "mordeur" vinrent m'offenser et chercher bagarre. Je ne me suis jamais laissée faire, les blessant gravement, jusqu'à ce qu'Ylmarë arrivant torse nu intervienne :
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N'Y TOUCHEZ PAS ! Celle-ci est votre future princesse ! Elle sera des nôtres d'ici cette nuit ! Elle nous est bien trop précieuse pour qu'on la perde !-
Mais Prince...-
IL SUFFIT !Je ne comprenais plus rien à rien car toutes les personnes présentes partirent après des courbettes. Même hypnotisée, ensorcelée par cet être aux muscles fins et saillants je me refusais de répondre à sa demande. Je répugnais à le mordre mais désirais encore qu'il m'effleure. Nous nous battîmes une heure durant pour terminer dominée et poussée violemment sur le lit. De par son corps au dessus du mien, je ne pouvais plus bouger. Puis vint une seconde morsure qui ne pouvait que me faire serrer les draps pour qu'aucun son ne sorte de ma gorge, mes membres ne faisant que l'enlacer. Ma tête me tournait, ma volonté disparaissait peu à peu, mon ciel s'obscurcissant de plus en plus. Je ne paniquais même pas alors que le souffle de la vie me fuyait.
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Dépêche-toi de boire un peu de mon sang avant qu'il ne soit trop tard !-
N... no... non.Allez dire avec conviction et fermeté alors que tout autour de vous devient aussi noir qu'une nuit sans lune ni étoiles.
Ylmarë s'écorcha le torse avec la dague qu'il portait au niveau des reins et pris ma tête pour que je colle mes lèvres sur sa blessure. Le vampire fut dans l'obligation de m'éloigner dde son torse car je n'arrivais pas à m'arrêter de boire. Il me laissa sous la surveillance d'un couple de vampires comme gens de compagnie et garde du corps.
Cent onze ans durant je fus bercée dans les arts vampiriques par le couple me tenant compagnie. Que ce soit la vitesse, le goût, l'odorat, la vue, quand sortir ou ne pas sortir, me battre à leurs manières mais aussi me défendre. Le plus important surtout, à me tenir comme une princesse.
Malheureusement je ne vis que très peu cet être hypnotique qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui.
Pour la sécurité de ma nouvelle patrie.Il fut une journée où je cauchemardais à propos d'un massacre des plus sanglants. Il m'était impossible de savoir de quel peuple il s'agissait, mais je pouvais ressentir une rage, une haine indescriptible et cette soif de vengeance, d'honneur.
Quelle ne fut pas ma surprise de me réveiller dans ma chambre complètement ravagée, Désespoir dégainée et laissée au sol.
PRINCESSE ! Mais que s'est-il passée ?J'étais encore sous le choc, puis, sans pouvoir me contrôler, sautais au cou de la servante afin de la vider de son dernier souffle de vie. Avec douceur ? Non, loin de là. Je l'avais fait alors que j'étais encore en plein milieu de ma torpeur. Cet animal, indomptable, qui s'était tapi au fond de moi depuis longtemps et qui n'attendait qu'une chose... sortir. Trop longtemps attendu peut-être. Et dire que je n'avais ressenti aucune pitié dans ce que je venait de faire. J'ai souri en voyant du sang dégouliner sur ma peau. Je vins même à le sentir.
Que l'on m'apporte de l'eau des plus fraîche ! Vite ! tandis qu'un serviteur se débarrassait du corps de la victime.
Alors que je me purifiais de cette souillure, je replongeais dans cette mauvaise pensée tandis que mon besoin de sauvagerie refaisait surface aussi doucement mais sûrement que le cour d'un ru en plein hiver. Il devenait urgent de m'assurer personnellement que les guerriers tenaient bien leur position initiale. Cela ne me disait rien qui vaille. Un mauvais pressentiment.
Sans demander audience à Ylmarë, je marchais rapidement le long des couloirs sombres et humides. Certes nous avons qu'un modeste territoire et parfois il m'arrive de me demander ce que les autres canines pointues seraient sans les stryges. Nul doute qu'une guerre était imminente.
Cette guerre où le sang allait couler à flot, sans doute des innocents mêlés à des choses qu'ils ne comprennent pas. Encore des intrigues et des trahisons. Se pourrait-il qu'il y ait des changements de camp ? Non je n'y croyais pas. D'ailleurs, il y avait bien longtemps où je ne croyais plus en une équité du monde. Oui, cela fait bien longtemps que j'ai compris que le monde appartenait aux plus forts, plus résistants. J'y crois actuellement, même si je ne peux pas m'empêcher de continuer à défendre l'orphelin.
Effectivement, ce jour de carnage arrivait. La terre tremblait, grondait, alors qu'on aurait cru que la lune elle-même prenait part à cette guerre puisqu'elle était baignée couleur rubis.
J'avais tout juste eu le temps de vérifier l'armement de tous les guerriers, que les couloirs étaient libres d'évacuation ou d'une grande liberté de mouvements rapides et fluides.
Il ne sera pas dit que nous soyons des stryges édentés ! Il ne sera pas dit de nous que nous fuyons devant la moindre difficulté ! Même si nous devons mourir à nouveau ! ENSEMBLE soyons la fierté de notre mère à tous : Démentia ! Pour sa gloire, affrontons les ennemis ! les haranguais-je pour leur prouver qu'ils devaient compter sur leur princesse.
Je me souviens de Kenaroth, ce grand asura massacrant la plupart sans la moindre hésitation. Un roi qui n'avait pas froid aux yeux d'agir sur le terrain. Et moi comme paralysée ne pouvant presque rien faire, de son regard dur et froid lorsque je le vis tuer Ylmarë, d'un nouveau sentiment naissant en moi : la rage. Egalement d'Aniska la vampire, jetant du sang de harpie sur moi afin de dissimuler mon odeur et de me cacher de justesse dans une salle secrète juste à temps et avant de se faire tuer à son tour. Ma sortie ou mon sauvetage me reste inconnu encore à ce jour. Je ne me souviens plus comment je suis parvenue à revenir parmi les miens.
Un instant de reposLa restauration complète du domaine des stryges pris à peine un siècle. L'arrivée de Zark Morkokh ne fut pas forcément appréciée par tous. Lui comme moi devions encore faire nos preuves. Moi à m'imposer en tant que princesse et lui en tant que Seigneur stryge. Bien que sa renommée en tant que barbare humain ne nous était pas inconnue. Lui avait des eu des actes de sauvageries, tandis que moi, j'avais été protégée et élevée à mon rang par feu le prince.
L'instauration de respect entre les survivants, Zark et moi pris six mois. Je m'occupe de la défense de notre territoire puis de traiter les affaires en son absence tant qu'il reste introuvable.
En l'an de grâce 3500Nous autres, vampires de souterrains, avons la possibilité de connaître certaines choses plus rapidement que d'autres.
Moi qui pensais avoir un peu de temps pour me charger des affaires internes, détestant rester assise à ne rien faire, j'étais loin d'imaginer que cela durerait.
C'était un jour où, par déception plus que par dépit, je torturais un vampire de ma caste pour nous avoir trahi. J'avais demandé à ce qu'il soit exclusivement attaché avec des chaînes aux poignets et aux chevilles, qu'il soit torse nu et que deux jeunes vampires boivent son sang le plus lentement possible aux poignets le temps que j'arrive. Lui griffant paresseusement le torse :
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Quelle idée as-tu eu de vouloir te rendre à Lybarach ? Pour le compte de qui ? Même pas pour ta princesse ? Allons allons ! Tu me déçois Lucius. lui dis-je froidement en venant planter un de mes longs ongles sur le flanc droit, ignorant son hurlement.
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Fi... Princesse Maundrell... Pour notre bien... les fanatiques... Nektan... Ezrail... vivant... les dé... démons.-
Ce ne sont que des palabres inutiles. Une prophétie idiote ! fis-je commençant à être agacée.
D'habitude si patiente, je venais d'être à bout en un rien de temps. La trahison est une chose que je considère simplement comme une faute impardonnable. Et à cause de cela je me remis à penser à mes parents lorsque j'étais humaine. Pensée vaine puisque je ne m'en souvenais que très peu.
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Terminez-le ! Il est hors de question que je boive le sang de ce traître ! ordonnais-je en retournant sur mon "trône".
A peine assise que trois émissaires des autres maisons vampiriques accoururent et demandèrent audience. Ils prirent un bon moment pour m'expliquer qu'une prêtresse mourut, que des tablettes furent trouvées, qu'une sorte de grand mage était sorti de sa prison éternelle. J'étais loin d'imaginer cela réel. Petite j'avais cru qu'il s'agissait d'un conte pour enfants destiné à les prévenir qu'on les mettrait en prison s'ils n'étaient pas sages. S'il n'y avait que ça ! Ils vinrent me dire qu'une catastrophe venait d'arriver. Les démons ! Aucune créature n'était capable d'apaiser ces êtres qui font peur à la plupart.
-
Karl rends-toi auprès d'un des leurs et demande leur de me faire parvenir une petite délégation pour que nous puissions trouver un quelconque accord.Un mois durant, tout n'était que perte, famine, même pour nous qui ne faisons que boire. Famine au point de nous nourrir d'animaux. Même le monde souterrain était touché par cette horde jusqu'au moment où démons et vampires trouvèrent un certain terrain d'entente.
A propos de vous |
- Prénom /Pseudo : Lyly
- Age : cherchez bien.
- Comment avez-vous connu le forum ? un pur hasard
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