NOM_DU_PERSONNAGE
	Rang : D Race : Vampire Age :  18 ans Royaume/faction : Abraethan Fonction(s) : Aucune Classe : Guerrier.
Équipement et Pouvoirs	Arme(s) : - 2 épées courtes - Armure : - Aucune Objets spéciaux : - Caractéristiques raciales : Peau blanchie, crocs de vampires Espérance de vie : supérieure à 1000 ans Regard hypnotique : les vampires dégagent une aura qui donne un sentiment étrange. Détection du sang : un vampire peut sentir la qualité du sang d'une personne et donc son rang. Nocturne : un vampire ne supporte pas la lumière du soleil, cependant les asuras leur ont conçu des pilules dont l'effet leur permet de se déplacer à la lumière du jour pendant douze heures. Cependant, ces pilules diminuent leurs pouvoirs et elles leurs sont remises qu'en quantité limitée. Griffes : sans avoir des mains griffues, un vampire peut déchirer le chairs avec ses mains. Vulnérabilité : aux armes en argent (cette matière dans le cœur entraine leur mort instantanée) et la lumière du soleil (un vampire ne peut vivre en plein jour sans les pilules conçues par les asuras) Condition de transformation : on ne peut pas naître vampire, aucune grossesse ne peut être menée à terme par une femme vampire ou une humaine ayant eut une relation avec un vampire. On devient vampire uniquement en buvant le sang d'un des membres de cette race. Un vampire ne peut pas espérer transformer un lycan ou boire le sang de ce dernier. Le sang du lycan étant déjà "maudit" par sa forme lupine, il ne peut l'être une seconde fois, cela entrainera la mort du vampire si le sang du lycan pénètre en son corps. L'inverse est également vrai, un lycan ne peut espérer transformer un vampire. Don(s) : (Réservé au staff) - Sorts / Techniques / Domaines : (optionnel) - Très bonne au combat, mais n'a jamais eu d'entrainement pousser.

Tout juste sortie de mon adolescence avant ma transformation, je n’avais pas encore le visage sévère d’un adulte. Ma peau autrefois bronzé par mes jours passées au Soleil étaient désormais presque blanche dû au fait que seulement la lune alimentait mon corps. Je n’avais néanmoins rien à redire pour ce qui était de mes formes, rien n’avait changé et rien ne changerait. Je gardais un corps svelte et frais, celle d’une jeune fille. J’avais hérité de ma mère une chevelure brune foncée avec un reflet roux. De mon père j’avais hérité de sa grandeur, je fessais 5 pieds 7 et si j’avais continué ma croissance humaine j’aurais surement encore grandis. J’avais laissée tomber les robes et les froufrous pour porter des vêtements simples. J’arborais désormais un pantalon de cuir noir, une chemise noir et même si c’était un peu inconfortable, j’avais gardé mon amour pour les corsets rouge vins.

Fille de l’un des membres de la milice chez les humains, j’avais donc le même caractère que celui-ci, une vraie tête de mule. J’avais par contre la tendresse de ma défunte mère. Ayant l’immortalité je ne me soucie pas du lendemain. J’y vais avec ce qui arrive, je ne pense pas à ce que je ferai dans 3 semaines, c’est peine perdu. Je ne pense pas m’attacher à personnes. Je suis une solitaire et je ne m’attarde à rien. Tout ce que j’espère c’est peut-être trouver un moyen de retrouver mon humanité, mais c’est peine perdu je le crains. Je déteste désormais l’homme qui, je pense ma transformer. Je ne cherche pas de compagnie ni de combats. Je cherche des miens, des gens qui pensent comme moi. Car oui, il y a d’autres Vampires et la plus part aime un peu trop ce qu’ils sont devenu. Peut-être que je deviendrai comme eux.
Mon histoire ? Celle de ma nature humaine ou de ma transformation ?
Je suis née d’un père milicien, reconnu pour son grand coeur et son envie de protéger tout le peuple et d’une mère tout aussi généreuse, une vraie sainte. Tout le village était reconnaissant pour l’aide que mes parents leurs apportaient durant leurs moments difficiles. Ils étaient les premiers à aller aider les nouveaux arrivant à construire leurs maisons ou à réparer leurs charrettes. Après plusieurs fausses couches et prières, je suis finalement arrivé. Après un accouchement de longues heures et d’intenses douleurs, je suis née. J’ai toujours bien vécu, ayant des robes, des corsets, de l’attention comme toutes petites filles rêvent d’avoir. J’étais une enfant gâtée et je ne savais jamais quand m’arrêter. C’est un soir après une fête au village, un jeune homme m’avait courtisé et amener plus loin... Cette soirée j’y est presque laisser ma virginité, mais aussi ma vie. Je ne voulais pas, ce n’était pas ce à quoi je pensais qu’il fessait allusion. Je criai à mort, je voulais que mon père vienne me sauver, qu’il ne me laisse pas croupir là, mais la musique était forte et nous étions loin. C’est à ce moment que quelque chose arriva, pendant qu’il m’arrachait les vêtements, un grognement intense c’est fait entendre, comme si un énorme loup était dans les parages. Il arrêta et regarda autour, j’étais terroriser et soudain un loup comme j’en avait rarement vu à surgi pour s’emparer de l’homme face à moi, me laissant dans le sentier, presque déshabiller dans le noir complètement. Je pleurai, je ne voulais pas bouger, j’avais trop peur que le Loup revienne.

Finalement mon père fini par arriver en courant avec ma mère. Celle-ci me prit dans c’est bras et en pleurant je leur racontai ce qui c’était passer. Mon père fou de rage, voulait retrouver cette homme qui avait osé s’en prendre à moi, mais je ne l’est plus jamais vue. À partir de ce soir-là je commençai les cours d’épée avec mon père. Plus jamais je n’ai pu sortir seule de chez moi lorsque le soleil était coucher et encore moins lorsque ce satané jour arriva. Ma mère, ma chère mère fut retrouvée sans vie dans l’une des ruelles de notre village. S’en suivit des funérailles, les plus sombres de tout le village. Moi et mon père étions désormais seuls. Il était sans vie depuis ce jour et je ne pouvais plus mettre un pied à l’extérieur de ma demeure. Mon père à commencer à boire, à être distant, mais néanmoins nous continuons les cours d’épées. Il ne vivait que pour que je sois capable de me défendre, mais aussi d’attaquer, sans pitié et avec ravage. Jusqu’au jour où je réussi enfin à le mettre hors d’état de nuire, mais dans mon élan de frustration avec tout ce qui c’était passé depuis la mort de ma mère que je n’avais pas dit, je n’avais pas pleuré, tout était désormais sortie. J’étais devenu un monstre et j’ai vu la terreur dans les yeux de mon père.


Depuis ce jour il ne m’a jamais plus regardé avec le regard d’un père, mais avec celui d’un étranger qui regarde un mendiant. J’ai donc décidé que c’était assez, que je ne voulais plus supporter tout ce poids sur mes épaules et je suis partie. J’ai tout laissé derrière moi... Pour rien ! Si je n’étais pas partie, si je serai restée avec mon père je ne serai peut-être pas devenu ce que je suis aujourd’hui. Tout ce que je me rappelle c’est d’un homme, très charmant et qui dégageait une certaine prestance. Je n’étais pas la seule à le regarder comme je le fessais, toutes les femmes présentes étaient obnubiler par cette homme. Je n’étais pas très bien coiffer, ni habiller, je venais de marcher pendant 2 jours et je dormais dehors. Il est venu vers moi, il me paya à boire, à manger et m’invita à aller parler plus loin. Il avait de très bonnes manières, il était de très bonne compagnie et avait un de ces sourires, à faire tomber n’importe quel fille dans c’est bras.

Je suis tombée dans le piège. Il m’ensorcelait, littéralement, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, je n’avais jamais rien senti quelque chose d’aussi intense ? Cette nuit fut ma dernière nuit d’humaine, mais aussi en tant que vierge. Il m’enleva tout et repartit le lendemain sans me dire mot, enfin je ne sais plus. Je me suis réveillé quelques jours plus tard. La taverne était rasée au complet. Tout le monde avait disparu, mais le sang régnait. Je regardais mes mains, elles étaient pleines de sang et dans la glace, je vis mon visage. Mon cou était mordu, j’avais les lèvres rouge vif et du sang, du sang couvrait tout mon corps. L’horreur me tirailla, je couru dehors et le regretta aussitôt. Dès le premiers pas fait, je brûlai et rentra à l’intérieur de la taverne aussi vite que j’en étais sortie. La panique me pris, je ne comprenais rien et la brûlure du Soleil était très douloureuse. Je retournai dans la chambre ou cet homme m’avait amené et fait passer une nuit d’amour torride. Je me dis que c’était un cauchemars que je me réveillerai bientôt, mais non. Je trame ce vampirisme avec moi depuis 40 ans. J’en ai croisé d’autres, des gens comme moi, des vampires, mais je ne leur est jamais vraiment parler. Je pense que j’ai peur de devenir égoïste et de perdre le peu d’humanité qui me reste. J’ai peur de leur ressembler.

J’ai finalement compris que si je voulais survivre je devais aller à Abraethan. Je n’ai jamais aimée cette endroit sombre et lugubre, mais lorsqu’on est vampire et que le Soleil peut nous tuer, difficile d’aller vivre avec des humains, sans oublier que pour  sortir, je devais avaler une pilule bizarre, mais je n’avais encore jamais tenté l’expérience. C’est dans la famille Lahmianes que j’ai trouvé un toit. Je n’ai jamais vraiment compris pour quoi j’avais eu ce droit, mais les autres maisons ne me ressemblaient pas. Je n’étais ni de noblesse humaine, ni un vampire assoiffé de sang et de combat ou une mage.

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